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samedi 27 avril 2024

Petites choses qui (70) réjouissent le cœur


Ordes, lundi 7h 23

un chêne dans le clair matin,

7h24

variation de la lumière dans les feuilles naissantes,

7h25

se retourner pour le regarder encore, de l’or à l’horizon, le soleil est en train de poindre

vendredi 26 avril 2024

À pied (10), rencontres

 


Pessée, elle jaillit de derrière son volant, sourit pourtant ouvre la porte de son utilitaire Une photo ? Bien sûr, vous pouvez, un parfum chaud vous enveloppe Oui, ça sent bon, il sort tout juste du four. Les tournées ? Avec le prix de l’essence, je sais pas jusqu’à quand Quelques mots encore et hop ! la voilà déjà repartie.



jeudi 25 avril 2024

À pied (9), rencontres

 

Une ferme imposante au bout du chemin. Un vieil homme vaque, puis, à pas lents, se dirige vers vous. Se saluer, quelques mots et il s’en retourne préparer la gamelle du chien. 

mercredi 24 avril 2024

Petites choses qui (69) réjouissent le cœur

 


un champ labouré bientôt ensemencé, un vieux pommier en fleur, attendre, y croire, le printemps

mardi 23 avril 2024

à pied (8) sur le chemin anglais


marcher les yeux sur le chemin, le feuillage frémit, des oiseaux. tiens ! un tintement, où ? chercher de l’oreille et du regard, deux bouteilles suspendues à une branche de pommier dansent dans la brise. Une musique s’improvise, demain encore on trinquera à l’agua ardiente eau-de-vie

N.B. Pour d’autres des « trampas a avispas », pièges à guêpes (ou pire à frelons asiatiques, un fléau ici aussi)

 

lundi 22 avril 2024

ombre et lumière (7)

 


emprunter un tortillard de Betanzos à Ferrol, longer tout le long rías et Océan, 

une ville à la gare et bâtiments publics surdimensionnés, où la très grande base militaire n’est plus qu’un souvenir, des commerces fermés, 

des maisons délabrées, des traces glorieuses ici ou là, parfois côte-à-côte, 


de beaux immeubles, Franco est né dans la ville, sa statue a été déboulonnée, 



dans la vaste caverne d’Ali-Baba de Betanzos, El Rastro de Merce.  Douze ans que je vide les maisons, les gens se débarrasse, j’accumule, toute une organisation, je ne me plains pas, j'ai un autre entrepôt pour les plus grosses pièces, des transporteurs aussi pour aller chercher installer, choisir quelques photos, 






lire Ferrol del Caudillo, traces temps révolu, avec le jeune employé, un passionné aussi, Toutes les histoires ont leurs zones d’ombre, oui, Ferrol del Caudillo, ça a été et maintenant avancer.

dimanche 21 avril 2024

Lu et vu

Lu

Né d’aucune femme de Franck Bouysse

Vu

Arnasa betean a pulmón de Bertha Gaztelumendi, Rosa Zufía (Yannick Bellon citée à au moins deux reprises)