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mardi 8 janvier 2013

attaches (2)

ce qui nous liait encore  se tenait sous nos yeux
on portait un monde, personne pour ouvrir,
les chaînes de grincer, les portes de claquer,
si peu aurait suffi, on dansait sur des ruines

2 commentaires:

  1. Ma maison exhibe aussi des tas de chaînes rouillées et pendantes. Je sais ces allées et venues bruyantes , vivantes des hommes et des bêtes.

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  2. Ta deuxième photo : un symbole, un lien… indéfectible.

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